« IL N’Y A RIEN DANS MA VIE QUI MONTRE QUE JE SUIS MOCHE INTÉRIEUREMENT », une étude brute et minimaliste des scènes de féminicide
Il n’y a rien dans ma vie qui montre que je suis moche intérieurement de Agnès Limbos, Cie Gare Centrale © Nicolas Meyer Du Petit Chaperon rouge à la myriade de séries criminelles contemporaines, il y a une convention narrative que respectent tous les récits de prédation, sauf par opposition au trope : la répartition…